CRISE II : LE RETOUR.... on longe le précipice !
Publié le 6 Octobre 2008
les marchés s'affolent, les différents meetings politiques ne donnent rien, ne rassurent pas, malgré le vote du plan
Polson, le cercle vicieux est en train de s'accélérer....
Notre monde économique est comme un funambule aveugle, évoluant sans filet, sans balancier.... ou, comme on l'a lu partout, comme un avion sans cabine de pilotage...
Les dirigeants politiques renâclent à s'entendre, les intérets nationaux priment et rien ne semble convaincre nos représentants politiques de leur responsabilité si tout s'effondre...
A cause de leur inconséquence, ils devront gérer les conséquences dramatiques de la crise et non plus la crise elle-même...
Ce n'est plus du déni de crise, c'est pire, c'est un refus d'agir à la hauteur du cataclysme, un refus de sauver ce qui peut encore l'être, de tout remettre à plat... Notre système économique est gravement malade, overdose carabinée et on le soigne à coup de placebo....
On atteint le climax, point de non retour, celui après lequel on pourra pleurer de n'avoir pas su empêcher cela alors que tous les indicateurs le prévoyaient depuis des années déjà.... Celui après lequel le XXIème siècle aura un goût de XIXème, la technologie en plus, l'espoir en moins...
L'humain a disparu, depuis longtemps....
Comme l'a si bien dit Sarkozy, elle est en route cette "politique" de civilisation, mais elle a le visage de la décadence financière et la fulgurance d'une comète détruisant tout sur son passage...
Notre monde économique est comme un funambule aveugle, évoluant sans filet, sans balancier.... ou, comme on l'a lu partout, comme un avion sans cabine de pilotage...
Les dirigeants politiques renâclent à s'entendre, les intérets nationaux priment et rien ne semble convaincre nos représentants politiques de leur responsabilité si tout s'effondre...
A cause de leur inconséquence, ils devront gérer les conséquences dramatiques de la crise et non plus la crise elle-même...
Ce n'est plus du déni de crise, c'est pire, c'est un refus d'agir à la hauteur du cataclysme, un refus de sauver ce qui peut encore l'être, de tout remettre à plat... Notre système économique est gravement malade, overdose carabinée et on le soigne à coup de placebo....
On atteint le climax, point de non retour, celui après lequel on pourra pleurer de n'avoir pas su empêcher cela alors que tous les indicateurs le prévoyaient depuis des années déjà.... Celui après lequel le XXIème siècle aura un goût de XIXème, la technologie en plus, l'espoir en moins...
L'humain a disparu, depuis longtemps....
Comme l'a si bien dit Sarkozy, elle est en route cette "politique" de civilisation, mais elle a le visage de la décadence financière et la fulgurance d'une comète détruisant tout sur son passage...